Les urgences environnementales ne vont pas se résoudre en quelques mesurettes. Il s’agit de modifier en profondeur nos modes de vie et de relations sociales, économiques, politiques… C’est ce que nous disent les acteurs auvergnats de la question écologique, rencontrés pour le livre « Si on le fait pas, qui le fera ? » Quelques exemples de leurs propos, dans ce dernier rendez-vous de notre chronique « Bonnes feuilles ».
Devient-il urgent d’agir sur le long terme pour transformer un territoire ?
Urgences environnementales, temps d’acceptabilité, mandat électoral, vision de long terme… Les acteurs de la transformation territoriale se heurtent à des horloges biologiques souvent contradictoires. Ils en parlent dans le livre « Si on ne le fait pas, qui le fera ? ».
Pionniers de la résilience environnementale : une question de tempérament
Nous continuons à feuilleter pour vous le livre « Si on ne le fait pas, qui le fera ? », édité par Tikographie. L’un des thèmes récurrents qui traversent ces entretiens est la position inconfortable que peuvent vivre les acteurs de la transformation de la société.
Comment entre-t-on dans l’action environnementale ?
Dans le livre « Si on ne le fait pas, qui le fera ? » publié par Tikographie, nous cherchons notamment à comprendre la part de l’humain dans l’action face aux urgences écologiques. Trois extraits de l’ouvrage, trois entretiens avec des acteurs engagés en Auvergne, nous apportent un premier éclairage.